• Le Petit Collège vu par les 7ème 3 – Promo 2016

    La Cantine

    Au sous-sol se trouve le réfectoire. Lorsqu’on y entre, on aperçoit immédiatement le self à droite et un bureau à gauche pour gérer les absences et les présences. Une odeur persistante de cuisine emplit toute la salle; ce qui est normal puisque c’est une cantine. On peut aussi entendre des bruits de couverts et d’assiettes qui s’entrechoquent. Les tables entourées de chaises filent autour de la pièce jusqu’aux poubelles. Il y en deux pour les déchets recyclables et deux pour les autres déchets. Derrière ces bacs se trouvent les cuisines à proprement parler où sont préparés nos repas. Au mur sont accrochés des fresques réalisées par les enfants et au sol du carrelage beige et noir forme des motifs de toute taille. Cet endroit est animé et coloré ce qui donne envie d’y aller!

    Alexandre.T

    Mes chers enfants,

    J'aimerais que vous reteniez que la cantine était un de mes lieux préférés de mon école primaire. J'y déjeunais presque tous les jours. Cet endroit, coloré, pratique et ordonné remplissait parfaitement son rôle : en entrant, une odeur un peu écœurante prouvait que nous avions bien affaire à une cantine. Sur la gauche, de gros engins en inox permettaient de laver les assiettes .Ces bruits  qui s'entrechoquaient étaient constants. Près du self, deux poubelles étaient surveillées par une dame qui vérifiait ce que jetaient les élèves. Une fois que je les avait dépassées, j'avais l'habitude de regarder droit devant moi et de balayer du regard les nombreuses tables en bois et leurs chaises pimpantes vertes ou rouges. Des pancartes réalisées par les élèves décoraient les murs. Au fond de cette grande pièce se trouvait la salle des professeurs que je ne peux malheureusement vous décrire car je n'ai jamais eu l'occasion d'y pénétrer à cause de cette lourde porte métallique qui empêchait tout regard enfantin de s'y glisser. 

    Floriane

     

    Mes chers enfants,

    Quand j’étais petite, j’étais dans une école merveilleuse. J’aimais tout particulièrement la cantine. Quand j’y entrais, une odeur de cuisine me montait immédiatement au nez. Mon regard broyait la vaste pièce où, de part et d’autre, étaient rangées une dizaine de tables avec leurs chaises rouges et vertes qui grinçaient au moindre mouvement. A droite, le self en inox. A ses côtés, les plateaux de couleur verdâtre étaient empilés de façon régulière comme les livres d’une bibliothèque. Tout en déjeunant, nous entendions d’une oreille les assiettes qui s’entrechoquaient.  Aux murs, des fresques multicolores, des panneaux d’affichage en liège et des photos d’élèves avec leur professeur transformaient ce lieu en une sorte de musée créé par nous, les élèves de Franklin.

    Mes chéris, je voulais vous faire part d’une chose : pendant un court instant, dans cette simple cantine, j’ai ressenti une profonde joie de vie en nous voyant avec notre sourire aux lèvres. Là, je me suis rendu compte que tous les enfants n’ont pas notre chance d’être dans une école comme la nôtre.                                                                                

    Lou

     

    Le réfectoire est un lieu où l’on sent à toutes les heures de la journée, l’odeur de la nourriture.

    En entrant, dans la pièce, à droite, se trouve le self en inox. Devant, 9 grandes tables de 8 couverts, au fond, la salle des professeurs et des petits.

    En avançant, un peu plus, on remarque à droite, on remarque à droite, se dressaient 5 autres tables puis dans un coin la poubelle. On entend, de la  cuisine, les assiettes qui s’entrechoquent. Bref, j’espère pouvoir me souvenir de ce lieu.

     

    Rina

     

    La BCD

     

    En entrant dans la bibliothèque, nous apercevons, à gauche et à droite des centaines de livres (roman, bd…).En face une vaste table, était couverte de roman pour les 7ème.

    Au-dessus de la porte de secours était accrochée une horloge. Au plafond, se suspendaient des néons.  

    Mais ce silence ne fut pas éternel ; en effet, brouhaha se propagea dans le couloir.

    Est-ce un troupeau d’éléphant ?

    Basile

     

    Chers enfants,

                Je vous adresse cet écrit pour que vous ayez un aperçu de la BCD de mon ancienne école, Franklin. Dès que je rentrais, j’apercevais une table basse entourée de chaises jaunes. Plusieurs rayons de livres classés par auteur longeaient le mur. Etrangement des néons étaient toujours allumés, alors la lumière du jour suffisait à l’éclairer. Au-dessus, de la porte se dressait une croix pour se rappeler la présence du Seigneur partout et pas seulement à la chapelle. Un large bureau équipé d’un ordinateur servait à emprunter les livres. On entendait le papotage des enfants et le bruit des livres feuilletés. Cette bibliothèque était doublement chaleureuse : les mamans qui nous accueillaient nous conseillaient avec gentillesse et nous nous sentions très bien. 

    Philippine

     

    Mes chers enfants,

    Si, un jour, vous entrez dans cette école, j’aimerais que vous connaissiez son meilleur endroit à savoir : la bibliothèque. La BCD est une pièce plutôt petite mais assez accueillante. A peine avez-vous fait quelques pas, qu’une douce chaleur vous pénètre. Devant vous, une table en bois orangé, assez petite, accompagnée de chaises si minuscules que, dès que l’on s’y assoit on a l’impression de tomber. Marchez vers le bureau de bois, qui servait à emprunter : plusieurs parents assuraient les prêts. Un peu plus loin, vous voici au centre de cette petite pièce, surchauffée. Une dizaine d’étagères font comme une forteresse. Vous entendez des petits bruits : comme des chuchotements, le bruit des pages que les enfants tournent… Bref, la BCD et un endroit agréable, apaisant et pour tout le monde !

    Capucine

     

    Mes enfants,

    Il faut que vous sachiez que quand j'avais votre âge, mon endroit préféré était la BCD (ou bibliothèque). Dès que j'entrais dans cet endroit accueillant, quoique sonore, une odeur de renfermé et de carton me submergeait. La première chose que je remarquais en entrant et qui m’étonnait toujours (bien que ce ne fût pas la première fois que j'entrais dans cet endroit), c'était la grande table en bois qui allait de l'entrée principale jusqu'au bureau des emprunts.

    Sur tous les côtés des petites étagères assez poussiéreuses, en métal et en bois supportaient sur leurs rayons des documentaires, des romans et des magazines en tout genre. Il y avait bien une étagère que je n'ai jamais explorée. C'était celle des documentaires et livres de classe à prêter. L'atmosphère de cette pièce était apaisante bien que nous profitions toujours de cet espace pour bavarder mes amies et moi. D'ailleurs, la température tiède et agréable attirait l'hiver une cohorte d'élèves qui venaient plus par plaisir que pour lire.

    Moi je ne lisais que dans la section Romans/BD/Magazines. En effet notre bibliothèque était coupée en deux par une très longue étagère qui se terminait par un bac rempli d'albums pour les petits.

    Si je préférais le coin des romans ce n'était pas seulement pour mon goût pour ces livres mais aussi parce que l'endroit était le plus fourni en espace et en sièges -peu confortables, par ailleurs.  De plus, la lumière du soleil éclairait davantage cet endroit. Les étagères de romans étaient alignées mais suffisamment espacées pour que quelques élèves puissent s’y asseoir pour lire.

     Ma partie préférée était l'espace compris entre l'étagère du fond et la porte de secours. Les mamans surveillantes avaient beau nous interdire de nous asseoir contre, cela ne servait à rien !


    En haut de la porte de secours était accrochée une horloge mais l'on ne savait jamais si elle était réellement à l'heure. À gauche avait été placé un bureau avec 2 sièges et une étagère de « dicos ». On avait toujours peur qu'elle nous tombe dessus.

    De temps en temps, une odeur nauséabonde remplissait un endroit ; des garçons se mettaient alors  à ricaner (vous avez deviné pourquoi...).

    La seule lumière qui éclairait la  BCD était celle du soleil car les néons éclairaient à peine. Le sol était lisse et frais mais dur, aussi dur que du bois. Le plafond était moyennement haut et son quadrillage faisait penser à un carrelage. J'avais l'impression que cela ne changerait rien si la bibliothèque était construite au plafond.

    Bref, je trouvais cet endroit merveilleux.

    Maria Alba

     

     La cour de récréation 

     

    La cour de récréation est un lieu spacieux mais à midi, il est vraiment sonore et surpeuplé. Une fois que les élèves sont entrés en classe, c’est un endroit calme voire serein. Quand nous passons dans l’école, nous nous trouvons sous un préau. Puis en se rapprochant du centre, on distingue aisément un terrain de foot tracé sur le sol de bitume qui recouvre la cour. En continuant, nous arrivons au centre de la cour, avec à gauche cinq arbres parfaitement alignés et, à notre droite, le bâtiment principal : celui des classes allant de la 11ème jusqu’à la 9ème et au rez-de-chaussée, l’atrium. Devant, le préau de la chapelle. En face se dresse le bâtiment des 7èmes et des 8èmes, et au rez-de-chaussée, le préau de la cantine. 

     

    Raphaël

     

    La première fois que je suis entré dans cette école, devant moi, au premier plan, se trouvait une cour immense. Au deuxième plan, je pouvais apercevoir un bâtiment à deux étages en ne contant pas le toit bien sûr. Au centre de l’immense cour, se trouvait un terrain de foot et, à gauche des arbres beaucoup plus hauts que moi.

    Alors j’avançai et, tout d’un coup, je m’arrêtai et j’entendis des oiseaux chanter en cœur.

    Au fond de cette grande cour se trouvait un escalier qui débouchait sur une autre cour. Derrière moi, une grande grille magnifiquement peinte en vert fermait l’accès de la cour.

    Sous le préau était accrochée une mosaïque dessinée précisément.

    Ce monde était certes très sonore avec les cris de tous les enfants, mais accueillant.

    Lorsque je le vis, j’eus envie de pleurer de joie !

     

    Edgar

     

          Me souviendrais-je comment était la cour de récréation en primaire ? Je ne pense pas, c’est pour cela que j’écris ce texte. Le sol était sombre aussi sombre que la nuit.

    Je regarde le sol zébré de lignes de différentes couleurs. Pour découvrir le sens de ces tracés, il faut s’éloigner. Je découvre alors, un terrain de football. Je reviens sur mes pas et tourne la tête vers la gauche. Là j’aperçois un escalier, beige, en pierres qui nous mène à l’atrium où se trouvent des salles de classes (de la 12ème à la 9ème), le bureau de direction et le secrétariat. Regardons maintenant vers la droite. Remarques-tu les rangées d’arbres, hauts et verts au printemps, jaunes en été, oranges en automne et dépouillés de leurs feuilles, l’hiver ? Regarde devant toi. Un préau sur lequel donnent l’infirmerie, le grand portail et la chapelle. Retourne-toi à présent : des bacs de fleurs en pierre ont été installés pour fermer l’autre préau. Voilà, souviens-toi maintenant des bons moments que tu y as passés.

    Charlotte

     

    Cher Julie,

    Je vais te décrire un lieu très bruyant et très animé : la cour de récréation de mon école. En voici les caractéristiques : sur le sol, se trouvent des lignes qui servent à délimiter le terrain de foot. Ces marques t’agaceront sûrement car les garçons sont implacables dès qu’on les traverse, de peur de gêner le déroulement du « match ».

    De part et d’autre de la cour, se dressent deux préaux. Dans le premier, tes parents t’attendront s’ils viennent pour déjeuner chez toi. Le second est fermé sur 3 cotés ce qui explique son niveau sonore très élevé. Si tu veux en savoir plus, il est décoré avec de splendides oiseaux blancs en mosaïque.

    Sur le côté ouvert, d’imposants bacs à fleurs jaunes ont été récemment installés. Dans la cour proprement dite, cinq beaux arbres font de l’ombre, mais c’est aussi là que les ballons se perchent !!

    Voilà, je t’ai présenté ce beau lieu. J’espère que tu t’y plairas.

    Loïse

     

    L’infirmerie

     

    Ma chère Méliné,

    je t’envoie cette lettre car j’aimerais que tu saches où se trouve le lieu pour te soigner quand tu entreras à Franklin ; cela peut être utile ! En arrivant, de l’extérieur, après le portail vert, sur la gauche tu verras une porte avec le mot « accueil ». C’est là que tu trouves l’infirmerie. Quand tu entreras, tu sentiras une odeur de moisi, sais-tu pourquoi ? L’infirmerie ne peut pas souvent ouvrir la fenêtre pour que les malades n’aient froid. En revanche, le sol est un jaune or et l’on se croirait proche du soleil. Les murs sont un vert d’eau magnifique qui contribue au plaisir d’y aller. Lorsque tu pénétreras dans la petite pièce où se reposent les malades, tu distingueras une frise avec toute sorte d’animaux. En dessous, une bibliothèque en bois où l’on stock une centaine de livres mal rangés proposés aux petits malades pour patienter. Tu sais, cette infirmerie est accueillante et chaleureuse. Par chance, ce lieu est propre avec pas un grain de poussière au sol. Heureusement pour ceux qui sont allergiques ou qui ont un rhume ou toute autre maladie. Enfin, on y trouve aussi du réconfort.

    Auriane

     

    Gabriel junior, il faut que tu saches quelque chose.

      J’ai passé mon primaire à Saint Louis de Gonzague et j’aimerais bien te parler de l’infirmerie.

    Les lieux les plus banals cachant parfois des trésors de confort. Par exemple dans l’infirmerie se trouve un bureau plutôt simple mais pourtant pratique. A la gauche de ce meuble, deux chaises s’entassent dans un petit espace qui fait face à la porte vitrée comme celle de ta chambre.

    Au centre de la pièce, on aperçoit un rideau qui cache une seconde pièce avec un lit aussi sale que la voiture du voisin. Dans cette pièce, tu verras une armoire en fer, sur laquelle la faible lumière se reflète. Peut-être que la lumière se reflète aussi sur les murs jaunâtres et sur le sol ressemblant à l’eau de la mer ?

     Enfin, dès que tu pénètres dans l’infirmerie, tu es tout de suite saisi par l’odeur d’huiles essentielles venant de l’armoire à médicament. Et, comme tu es sage, tu apprécieras le profond silence de ce bureau qui sert aussi d’accueil.

    Maintenant que tu sais tout sur ce lieu, vas te coucher.

    Gabriel

     

    La salle de classe des 7ème 3


           Quand tu entreras dans la classe pour la première fois, tu pousseras une grande porte orange. Dans la salle, une atmosphère de tranquillité, se dégagera. Cependant, dès que la maîtresse aura un éclat de voix, tu sursauteras !

           Tu continueras en traversant la salle. À droite, de grands murs jaunes attireront ton regard, et rendront ce lieu pour toi plus accueillant. À l'un d'eux, sera accroché un TBI souvent dérèglé ! Des fiches seront aussi accrochées, elles t'aideront pour les exercices.
           Au fond de la classe, une autre grande porte nous relie aux 7ème2,  dans ce coin se trouve une fenêtre sur laquelle est accrochée un panneau pour chaque jour de la semaine avec, à portée de main, un feutre velleda qui fonctionnera. Là, la maîtresse écrira le nom des élèves qui n'auront pas fait leurs devoirs et qui devront les présenter le jour suivant.
           Sur la gauche, de grands tableaux blancs à hauteur d'élèves, à leur extrémité, une armoire massive beige et moderne. Elle jouxtera une petite table sur laquelle se tiendront une bouilloire et une plante apportée par un des élèves délégués. Au-dessus, des bacs de copies simples ou doubles qui te permettront d'écrire de nombreuses évaluations !
           Ton regard se dirigera enfin vers les 32 casiers puis vers la bibliothèque ce classe qui te permettra d'emprunter tout genre de livres : documentaire, fantaisie, policier, aventure... Un dernier coup d'œil vers le plafond : de banales lumières! Bref, tu découvriras que la classe de 7ème3 est un lieu spacieux !


    Marie-Charlotte

     

    Depuis mon bureau, qui se trouvait au fond à gauche, je pouvais voir toute la classe.

    Devant moi, se trouvait le bureau de la maitresse. Derrière son bureau sont accrochées des feuilles qui semblent aider le professeur. A la gauche de ce même bureau, au centre du mur, est suspendu le TBI puis ensuite d’autres affiches d’aide mais, cette fois, pour les élèves. Sur ce mur, comme ces affiches ne sont pas bien accrochées, elles volent quand la fenêtre est ouverte. On sent même le courant d’air jusqu’ au fond de la classe.

    Sur le mur de droite, rien de très spécial à part la porte orange flashy, quelques fiches et trois tableaux blancs à hauteur d’élèves dont on peut se servir pendant le PT (plan de travail).

    Sur le mur du fond, dans le coin, une imposante armoire dans laquelle est mis tout le matériel pour la semaine  des arts, à savoir la peinture dont j’adore l’odeur chimique et autres choses utiles.

    32 casiers y sont également suspendus.

    En revenant à ma place,  un objet qui a été placé là est extrêmement important, surtout en été : un ventilateur. Très important ? Une fenêtre se trouve juste derrière moi et, ouverte, apporte parfois une légère odeur de barbecue !

    De cette fenêtre arrive aussi le bruit des travaux (ce qui est assez fréquent).

    À ma gauche se trouvent livres, radiateurs fiches de PT, jeux de PT, magazines et classeur pour les exposés et le PT.

    Enfin, les murs sont jaunes et, avec beaucoup d’imagination, ils pourraient faire penser au soleil surtout quand on sait que le sol de la classe est bleu comme la mer.

    Dans cette classe la chaleur humaine suffit. Un conseil : si vous pouvez choisir votre place, mettez-vous au fond ainsi vous pourrez discuter tranquillement alors que devant pour le faire sans être repéré, il faut être passé maître dans la discipline. En revanche, ne discutez jamais avec Mme Bendao comme professeur, vous vous ferez vite repérer.

    Hugues

     

    Dès que nous entrons dans cette salle qui ressemble à un sauna, une délicieuse odeur de thé et de tisane nous caresses les narines. Nous remarquons d’abord trois larges fenêtres qui servent beaucoup à la maîtresse qui y accroche toutes sortes d’affiches.

    À gauche, de ces fenêtres, un petit tableau sur lequel la maîtresse y scotche l’emploi du temps ainsi que les cartes postales envoyées par ses élèves.

    En dessous, sur une estrade trône le bureau de la maîtresse, sur celui-ci se trouvent des stylos de toutes les couleurs. A côté se trouve le TBI avec l’application SMART NOOTEBOOK -  que j’apprécie beaucoup d’ailleurs.

    Sur le mur sont accrochées des affiches qui permettent de nous aider quand on a des trous de mémoire. Devant le bureau, trois rangées de pupitres s’alignent … Près de la rangée, côté fenêtre, est déposé le plan de travail de la quinzaine ainsi que quelques livres… Près de la rangée, côté couloir, se trouve un grand tableau divisé en trois partie à taille d’élèves. Pour finir, derrière ces trois rangées se trouvent 32 casiers où l’on peut mettre nos classeurs….

    Adam

     

    L’atrium

     

    Fiston,

    Tu vas bientôt rentrer à Franklin, ainsi vais-je te décrire mon lieu préféré qui est : à savoir, l’atrium.

    C’est un lieu calme et apaisant car il n’y a guère d’élèves qui y circulent en permanence. A gauche, en entrant, tu remarqueras une table basse, rectangulaire. Autour, des canapés capitonnés nous offrent la possibilité de s’asseoir.

    Approche-toi et tu noteras qu’une boîte de livres nous propose également des revues de Franklin publiés pendant l’année. Ainsi, si tu as rendez-vous chez la directrice  (j’espère que ce ne sera pas le cas…), tu auras la possibilité de t’instruire. Le bureau de la Principale jouxte le secrétariat. La décoration de l’atrium est composée de motifs en forme d’éléphants et de tulipes ; un pot d’orchidées orne cette salle. Un escalier mène à la « classe soleil » et aux classes du cycle 2. Si tu continues vers la droite, tu apercevras des corridors comme des labyrinthes qui mènent au gymnase et, de nouveau, à la cour de récréation. Une carte du monde montre sur le mur les pays destinataires des dons des JM.

    Juste avant de m’arrêter là dans ma description, je te préviens que tu ne dois pas prendre l’ascenseur. C’est formellement interdit. Il se trouve à gauche de la carte du monde.

    Henri

     

    Cher journal,

    En entrant dans cette pièce mon regard s’orienta immédiatement du côté gauche, vers ces deux bancs de bois clair, où les enfants punis étaient généralement assis.

    Devant ces bancs, se trouvait une table basse de la même couleur sur laquelle un simple pot de fleur y était posé. De l’autre côté, quatre chaises en bois, plus foncé cette fois-ci. À droite de ces chaises, un tableau mobile en liège sur lequel des étiquettes et toute sorte de documents pour les élèves d’allemand sont accrochés.

    À gauche de ce tableau et de chaque côté de la pièce, deux fresques se font face représentant des animaux de la forêt. Celle de gauche est collée à deux portes : celle de la direction et, plus à droite, la même porte bleu canard indiquant « Secrétariat ».

    Comme la pièce est sonore où tout résonne et que la porte du bureau de la directrice est généralement entre-ouverte la pièce est calme. La fresque, sur sa partie droite est cachée par un éléphant bien coloré, de la taille d’un adulte, réalisé par les enfants de classe préparatoire.

    En longeant le mur, on remarque un couloir sombre qui s’enfonce dont la lumière est presque toujours éteinte. Sur la largeur de la pièce, les deux portes jaunes des classes préparatoires ne passent pas inaperçues. Et, en face de ce couloir sombre, un autre dans lequel on aperçoit des escaliers qui sont eux aussi le plus souvent plongé dans le noir. Les murs sont de marbre blanc avec de petites tâches noir. Enfin la porte d’entrée entièrement en verre laisse entrer la lumière avec abondance.

    Alice

     

    En entrant dans l’atrium, je perçois  aussitôt une odeur douceâtre qui caresse mes narines. Mais ce qui m’étonne surtout est que ce lieu est calme pour une école ; en effet le bureau de la directrice  n’est pas loin.

    De chaque côté de la pièce sont alignées des chaises grises qui me rappellent des mauvais souvenirs.  Une table avec un pot de fleurs dessus égaye l’endroit.

    Jouxtant avec le bureau de la  directrice se trouve là une petite pièce où les professeurs font des photocopies. A l’extrémité de l’atrium se trouve la classe de Mme Verlé là où j’ai passé mes meilleurs moments d’enfance.

    Installé par Elke, le professeur d’Allemand, trône un panneau au centre du hall coloré !

    En un mot, ce lieu est ordonné et pratique, calme et  stupéfiant. C’est là que les enfants viennent s’asseoir quand ils sont punis !

    Clara

     

    Cher moi,

     En entrant dans cette salle, je remarquai, tout de suite, à ma gauche, une table rectangulaire assez basse sur laquelle se dressait une fleur, d’un blanc immaculé. J’avais l’impression qu’elle s’était baissée, comme pour saluer les nouveaux-venus. La table était ceinte de bancs plutôt bas eux aussi, mais bien capitonnés.

    En continuant sur la droite, je découvrais une grande porte orange dominant le lieu. Dessus était écrit en gros caractères: DIRECTION. Ce mot me faisait frissonner; la directrice de ma précédente école nous terrorisait.  Autant espérer que celle-ci ne suivrait pas son modèle.

    Une fresque jouxtait cette porte et se terminait à l’extrémité d’une autre porte, sur laquelle était écrit, toujours en gros caractères: SECRETARIAT, puis juste en-dessous: REPROGRAPHIE.

    Un pilier devançait deux portes battantes qui menaient à un escalier. En face de ce dernier se trouvait une deuxième fresque semblable à la première, suivie d’une alcôve qui faisait office d’entrée pour un ascenseur. Non loin,  quatre chaises identiques étaient alignées contre un mur qui menait à une baie vitrée par laquelle j’étais entré.  

    Il régnait une atmosphère calme et sereine. En sortant de la salle, j’entendais mes chaussures marteler le carrelage blanc.

    Oscar  - Edition Franklin, Saint Louis de Gonzague

     

    LA CLASSE D'ALLEMAND 

     

    C'était la classe d'allemand.

    J'entrai dans la salle, lorsque je m'aperçus à quel point cette classe était chaleureuse et accueillante avec sa luminosité et toutes ses couleurs, semblables à celles des papillons. Elle donnait vraiment envie d'écouter et de rester là.

    J'avançai encore, quand le calme et la sérénité m'envahirent. Je baissai les yeux et remarquai que le sol était fait d'une sorte de plastique, couvert de petit morceaux de papier jetés par les enfants.

    Au plafond, des fils pendouillaient, auxquels étaient accrochés les affiches sur le voyage en Allemagne des huitièmes.

    Tout un mur était couvert de cartes postales d'Allemagne, de posters, de tableaux en liège. Leur couleur faisait penser à la terre dans les jardins, avec des punaises pour accrocher non seulement des cartes, mais aussi pour des affiches, des étiquettes et des dessins faits par des élèves pour Elke, leur professeur.

    En face, des fenêtres couraient tout le long du mur. Avec, évidemment, des stickers et des dessins collants. Bref, cette salle était sûrement ma préféré.

    Astrid



    Pour la dernière fois, j’entrai dans la petite salle d’allemand. Sur ma gauche, des étagères pleines de livres s’empilaient régulièrement jusqu’au plafond. Je continuai, je dépassai les étagères, la salle alors s’élargissait. A gauche, je pouvais maintenant apercevoir des fenêtres qui donnaient sur la cour de récréation. Devant moi, comme dans toute autre classe, se trouvaient des tables et des chaises bien alignées tels des militaires devant le bureau de la maîtresse. Je longeai le mur de droite couvert de posters et des dessins des élèves. Au plafond, des ampoules cylindriques installées dans des petits cadres carrés éclairaient la salle. Par terre, des cartouches d’encre et des équerres traînaient car les élèves oubliaient de les ramasser. Enfin, je me faufilai entre les tables. Je regardai pour la dernière fois cette salle où j’appris mes premiers mots d’allemand et m’éclipsai.

    Léopold

     

    Le gymnase :

     

    Mon fils,

        Quand tu rentreras à Franklin, je suis sûr que tu iras dans le gymnase. Tes futurs professeurs te guideront à travers des couloirs et des escaliers qui t'emmènerons toujours plus bas dans les sous-sols de l'école.

    Tu entreras dans le gymnase en traversant une porte jaune canari immanquable. La salle fait une dizaine de mètres de large, une trentaine de long et dix de haut. Si tu la parcours du regard, tu verras le sol vert kaki très poussiéreux comme le bas des murs qui eux sont décorés avec des silhouettes de joueurs de tennis, de footballeurs et de karatékas multicolores.

    Au sol, justement, des terrains de sport ont été dessinés avec une couleur par chacun. Des tapis de gym bleus bordés de scratch rouge sont empilés dans les coins du gymnase. La salle sent un peu le caoutchouc et on peut parfois entendre de l'eau qui coule dans des tuyaux au-dessus de nos têtes. Tu remarqueras un renfoncement dans le mur. La porte jaune canari qui s'y trouve est celle de l'ascenseur. Si tu regardes au-dessus de toi, tu apercevras des paniers de basket blancs. Fais attention: ils sont très hauts. La seule fois que j'ai réussi à mettre un ballon dedans, c'était en séance de football, juste après que le prof ait essayé et raté.

    La salle résonne un peu, aussi, quand beaucoup de monde s'y trouve et s'agite, bouche-toi les oreilles! Malgré toutes les couleurs de la salle, le vert kaki domine, ce qui rend la salle morne. J'ai passé de bons moments à jouer à la balle américaine dans ce gymnase et j'espère que tu en profiteras tout autant.

    Alexandre C.  

     

    Cher Victor,

    Tu vas certainement apprécier notre gymnase qui de gauche à droite et de bas en haut est un lieu immense qui sente la poussière et la transpiration. Le sol est tout vert avec des lignes de couleurs vertes, rouge, bleue etc… Ce grand gymnase a aussi pour décoration es silhouettes de sportifs pratiquant différents types de sport. Elles sont toutes de couleurs différentes. Cette grande salle comporte aussi dans deux coins des « tapis de judo » qui sont empilés par dizaines.

    Même si des néons éclairent la salle, des fenêtres hautement perchées laissent passer la lumière chaleureuse de l’été qui  illumine le gymnase.

    Malheureusement, elles sont le plus souvent fermées.

    Pour les blessés, un ascenseur permet d’accéder à cette salle. Une table, deux chaises et des bancs pour nous, quand nous faisons des sports d’équipe. Deux portes mènent au préau même s’il est en sous-sol. Bref, ce gymnase m’a plu.

    Mathias

     

    Ma louloute,

    J’aimerais te présenter la salle de sport de mon école où j'y ai passé mes dernières années de primaire.

    Il s'agit du gymnase. Même si il me rappelait les cours de basket du mercredi qui n'étaient pas toujours drôles, j'appréciais tout de même son côté coloré qui en faisait un endroit chaleureux et atténuait son côté froid renforcé par des dimensions gigantesques.

     Il n'était jamais aéré mais il en avait l'air. On aurait même pu croire qu'un courant d'air y pénétrait.

    Dans un de ses angles, des tapis bleus qui servaient à la gymnastique ou au judo s'empilaient. Des bancs étaient positionnés contre le mur tout autour du terrain. Sur le sol s'entremêlaient des lignes et encore des lignes de toutes les couleurs qui délimitaient les différents terrains.

    Ce gymnase, tu l'aurais aimé, toi qui adore les sports d'intérieur.

    Ta maman, Clotilde.

     

    La Chapelle

     

    Mon cher fils,

    A Saint louis de Gonzague, l'une de mes pièces préférées était la chapelle lorsque j'y

    entrais, une douce chaleur se répandait dans tout mon corps, car le lieu était à la fois calme et serein.

    Je regardais immédiatement la croix en bois ou en argile, je ne sais pas vraiment. Mais cette croix était vraiment sincère. Juste en dessous d'elle des icônes trônaient dans un renforcement du mur ; elles représentaient des moments de la passion du Christ, je crois. A la droite et à la gauche de la croix,

    Des vitraux filtraient la lumière. Trois rangées de petits bancs étaient disposées dans la salle. Devant celle du milieu se dressait un autel aux lignes plutôt futuristes ; aux couleurs douces : blanc sur le dessus et beige en bas. D'un côté et de l'autre de la pièce, des images racontaient la passion du Christ. A la gauche de la salle, une statue en bois représentant la Vierge m'invitait à prier.

     

    Aymar

     

      

    À Ma Chère Directrice

     

    Quand on entre dans la chapelle, on ressent toujours de la sérénité dans l’âme.

    Tout au fond, on remarque tout de suite le Christ mort sur la croix.

    Plus bas, une niche contient spacieusement une crèche.

    Plus bas encore, des prières ont été accrochées au  mur avec en-dessous, des coussins bien disposés pour venir prier dans le calme.

    De chaque côté, des vitraux aux couleurs claires illuminent la pièce.

    Sur le devant, une belle statue de la Vierge Marie porte l’enfant Jésus.

    Au centre, des bancs bas, en bois clair, bien alignés.

    Devant eux se dresse l’autel sur lequel des cierges de couleurs comparables à celles des vitraux sont disposés.

    Grâce à vous, chère directrice, cette chapelle reste un lieu calme, bien entretenu et je vous en remercie de tout cœur.

    Thäis 

     

    À mes deux petits diablotins 

    Dès qu’on entrait dans la chapelle de mon école primaire, on ressentait immédiatement le calme et la chaleur apaisante que nous offrait ce lieu accueillant.  

    À l’extrémité de la pièce se dressait la statue de la Vierge Marie en bois noir. Dans son voisinage se tenait la croix de la miséricorde où, figurez-vous, nous avions collé un morceau de bois au dos duquel était inscrit un message personnel. Si je me souviens bien, un autel mobile s’imposait devant trois grandes planches qui supportaient la croix du Christ. Au milieu était creusée une niche rectangulaire dans laquelle était soigneusement placée la crèche. Dans la partie inférieure, étaient posés quatre ou cinq coussins pour pouvoir s’agenouiller et prier. Derrière ces étagères, de lumineux vitraux à dominante jaune rendaient la pièce plus vivante. J’avançais un peu et tombais sur des bancs assez bas parfaitement bien alignés. Puis j’observais tranquillement la colonne où une bougie brillait. Il était temps de quitter ce lieu, je fis le signe de croix et me dirigea  vers la sortie, encore illuminée par des vitraux dorés.  

     Arthur